Lorsque l’on dirige un indépendant, particulièrement en ère d’instabilité, on utilise un mot qu’on prononce rarement mais qu’on ressent colossalement : solitude. c'est pas une représentation, on a un fait. Être patron, ce n’est pas seulement prôner des détenteurs, cela vient porter les joies de tous, tout en camouflant les siens.